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Hartmut Heuser – Portrait d’un fonceur

Il ya une petite histoire qui raconte beaucoup de Hartmut Heuser…

C’était il ya 20 ans en Chine. Hartmut Heuser était là-bas pour son travail. La Chine était encore strictement communistes, les étrangers de l’ouest plutôt indésirable. Il était surveillé tout le temps et ne pouvait pas se déplacer librement. L’étroite, contrôlée ne lui convennait pas. Il a donc décidé de s’enfuir. Il a réussi à se débarrasser de ses surveillants et s’est enfuit seul dans les montagnes. Il a découvert un ancien monastère bouddhiste et il est y resté quelques jours.

Hartmut Heuser im Kongo

C’est comme ca qu’il est, le fondateur de la construction de puis dans les écoles. Il a de la forte volonté et un fort besoin de liberté. Et ce pouvoir est nécessaire lorsqu’on voyage une fois par ans dans les jungles du Congo pendant sa huitième décennie d’année de vie, pour aider les gens.

 

L’obtention d’eau est une tâche difficile et dangereuse

Il ya six ans qu’il était venus la première fois. Il a vu des femmes et des filles avec des bidons d’eau grands et lourds sur la tête. Partout oú il allait, il a suivi ces femmes sur leurs chemins, pendant des heures. Et Hartmut Heuser comprennait. Il a vu combien de temps elles prennent pour aller chercher de l’eau, comme c’est difficile et dangereux parce que les femmes s’étaient souvent faites agressées sur leur chemin par des hommes. Il a développé un plan. Pendant de nombreuses conversations avec les habitants, l’idée se constituait, de percer des puits à la main par des moyens très simples et d’apprendre cette méthode aux gens.

La socialisation entre l’Allemagne et la France

Originaire de Berlin, il a grandis à Aschau, près de Chiemsee. Dû à la guerre, il changeait souvent de domicile. La famille déménageait à Paris, il complétait son baccalauréat en français et en allemand. Par sa propre éstimation ce déracinement permanent le rendait extrêmement flexible et adaptable.

Il ne veut pas être un bonhomme 

Il est un peu fou, ce grand homme avec la coupe de cheveux-mecki gris-argent. Tous le monde qui le voit, l’appele un «fonceur». Une personne qui s’offusque d’injustice et de dysfonctionnement.

“Surtou, n’écrivez pas que je suis un bonhomme!», il dit de sois même: «parce-que je ne le suis pas.” Mais comment est-ce que vous appelez un homme, qui utilise tous les dons collectés pour les projets au Congo et qui paie ses voyages de sa propre poche? Qui préfère dormire dans une petite cellule dans un monastère au lieu de payer un hotel chèr?

pendant des années, le père de deux enfants, a travaillé comme ingénieur commercial et directeur d’exportations de grandes entreprises internationales. Il a ouvert les marchés en Europe, en Amérique du Sud et en Chine. Il a toujours aimé être médiateur entre differentes cultures. Il connaît les différences entre la Bavière et l’Allemagne du Nord, entre les Français et les Allemands, entre les Africains et les Européens, entre les techniciens et les laïcs, parce qu’il est lui-même un peu de tout.