Logo Brunnenbau macht Schule
deenfr
Galeriebild 01Galeriebild 02Galeriebild 03

DITUNGA und ihre Brunnenbauer.

Avec rigueur allemande et accent congolais

Machines agricoles et semences pour les agriculteurs, une école, un hôpital, une station de radio. La coopérative DITUNGA dans la province du Kasaï Oriental a de nombreux visages. Récemment, un bon approvisionnement d’eau potable en fait partie. Il y a trois ans que Hartmut Heuser a construit une école de construction de puits itinérante. Avec succès.

«Je me sens un peu comme au sud de l’Allemagne ou en Espagne. » En Afrique, les horloges allaient plus doucement, de nombreux organisations manquaient. « DITUNGA a presque un peu l’esprit étroit » plaisante Heuser. Sur le terrain de la DITUNGA il y a trois immeubles de bureaux, un bâtiment principal et une maison d’hôtes. En plus il y a un approvisionnement d’électricité indépendant grâce à des cellules photovoltaïques. Il y a aussi un hôpital privé, une école, des services sociaux, des ateliers, des points de vente pour campagnardes, des bassins de pisciculture et une station de radio. Les bâtiments modernes de construction basse sont propres et en ordre, les buissons taillés, et les chemins balayés.

Derrière les murs se confirme l’impression. Plus de 100 employés assurent un bon déroulement en l’espace de l’organisation. Vingt d’entre eux sont presque que responsable pour la construction de puits. L’équipe construit des puits jusqu’à 150 kilomètres reculé du site et comme ca ils fournissent de l’eau potable même aux villages loin des grandes ville. Seul pendant la formation à peu près 75 puits ont été créés.

À l’extérieur, l’armée montait la garde d’honneur, à l’intérieur Heuser fait propagande pour son projet

Jusque-là, c’était un chemin de pierres . Persistance et surtout le dialogue avec des  Congolais influents ont ouvert la voie pour Hartmut Heuser et son initiative. Dans ce cas particulier, c’était le gouverneur de la province, qui était intéressé par la construction de puits, donc il a invité Hartmut Heuser à une réunion dans sa propriété. Pendant à l’extérieur, l’armée montait la garde d’honneur il a fait propagande à l’intérieur pour son projet de charité. “Bien que constamment des gens entraient dans la salle, nous étions constamment interrompus par la sonnerie d’un de ses quatre téléphones, l’ordinateur portable et la Télévision étaient allumés, il a posé des questions étonnamment précis”, se rappelle Heuser. Avec les mots « je le soutien, j’aime ça», la conversation était terminée.

7

Trois, quatre mois se sont écoulés sans nouvelles. Puis, soudain, Abbé Apollinaire Cibaka, chef de DITUNGA et ami d’enfance du gouverneur provincial a contacter Hartmut Heuser. Les deux hommes se sont rapidement mis d’accord sur les termes et les procédures. 2009 a été le début du projet. Un ancien élève d’une école de construction de puits de Kananga, qui avait maintenant atteint le statut de chef, est venu pour deux stages. En six semaines, il a donné son savoir aux participants très pratiquement : Comment préparer des outils appropriés, comment fonctionne la méthode de chignole, quels problèmes peuvent se produire et comment les puits terminés sont entretenu.

Hartmut Heuser n’en croyait pas ses yeux

Quand Hartmut Heuser a visité la DITUNGA la prochaine fois, il n’ en croyait pas ses yeux. Les étudiants avaient construit environ 30 puits pendant la formation en terrain peu practicable. «J’ai pris deux à trois jours pour écumer les sentiers avec la moto», dit-il.

Emeri

Hartmut Heuser veut continuer la bonne coopération avec la DITUNGA. Dans un avenir proche, des projets de dons avec les dons du Rotary Club sont prévues. Il fait confiance à  l’initiative personnelle croissante des puisatiers. Donc, ils doivent devenir plus des entrepreneurs indépendants que des embauchés. Cela comprend des travailleurs indépendants pour proposer des services, pour remplir des contrats ,pour acheter du matériel et pour choisir les participants.

“Je suis plutôt confiant que ce coin de la province va devenir une région modèle», dit Heuser. “DITUNGA fera en sorte que de plus en plus de villages de la région ont accès à l’eau potable. Grâce a cette nouvelle approche nous pouvons satisfaire notre concept d’aider à s’aider soi même et répandre la technique plus loin dans le pays “.